ACTIONS

NOTRE VISION



Notre vision est la sociale démocratie. Celle-ci repose sur les valeurs fondamentales du Parti, notamment le respecte, la dignité de l’être humain et vise à le libérer de toute exploitation, oppression et détresse.



1. La construction progressive d’une économie sociale de marché
Une telle économie sera au service du peuple. Elle contribuera à l’amélioration de la qualité de la vie, tout en préservant les bases naturelles de la vie et favorisant la cohabitation harmonieuse de toutes et tous au sein d’une société fondée sur la liberté et la démocratie. Le PSIJ prône une mondialisation économique équilibrée et porteuse d’espoir pour l’humanité.
 La redéfinition du droit de la propriété du sol et du sous-sol
La redéfinition du droit de la propriété du sol et du sous-sol principalement dans la gestion de l’exploitation des ressources naturelles (agricoles, minières, forestières et des hydrocarbures). Elle passe par des réformes courageuses dans ces secteurs importants du développement. Le PSIJ n’entend nullement supprimer la propriété personnelle et d’usage. Il prône un ordre de la propriété différent, qui assume des devoirs envers la société, tout en étant écologiquement et économiquement fonctionnel. La démocratie économique dans un pays caractérisé par la pauvreté et l’injustice sociale signifie également que les ressources du sol et du sous-sol doivent appartenir à l’Etat et aux personnes qui l’utilisent pour leurs propres besoins.
Un monde juste et pacifique
La sociale démocratie prônée par le PSIJ ne saurait exister sans un ordre mondial juste et pacifique. Le PSIJ s’insurge contre les guerres économiques d’agression imposées à la République Démocratique du Congo pour s’approprier ses richesses.
 Une armée nationale moderne pour la défense de l’intégrité du territoire national
Pour concrétiser cette vision de puissance, le PSIJ milite donc en faveur d’un service militaire obligatoire.

Nos projets de société



1. En matière économique et financière

• Faire adopter par le parlement national des lois de finances protectrices des denierspublics ;

• Veiller à l’application effective de la loi sur le financement des partis politiques pourenrayer la spirale des détournements des deniers publics de la part des mandataires publicspour financer leurs campagnes électorales par les mandataires des partis au pouvoir.

• Œuvrer pour la mise en place d’un système numérique pour juguler toutes formes decorruption et de détournements des fonds publics ;

• Instituer un système de digitalisation des recettes publiques en vue de la tenue desstatistiques des recette publiques.

2. En matière de justice
• Proposer un référendum en vue de faire adopter une nouvelle constitution de la République ;

• Reformer le système judiciaire pour l’adapter à l’évolution moderne et à l’aspiration des populations pour une justice juste et équitable ;

• Renforcer le système de répression des infractions à caractère économique et financier ;

• Faire lever le moratoire relatif à l’application de la peine de mort.

3. En matière sociale

• Reconnaître et valoriser le travail informel en accordant des droits supplémentaires à celles et ceux qui travaillent chaque jour gratuitement dans l’ombre, et parfois sans juste reconnaissance, que l’on soit aidant familial, bénévole dans une association, jeune en service civique ;

• Mettre en œuvre la parité nationalement et localement pour éviter les stratégies d’évitement : parité au sein des institutions (en exécutif et législatif) tant au niveau gouvernemental que niveau des provinces et entités locales ;

• Construire un mode de financement des hôpitaux basé, selon le type d’activité́ médicale, sur trois types de tarification combinés : à la « capitation » ou au forfait pour les maladies chroniques, à l’acte pour les soins programmés aigus, notamment chirurgicaux, et à la journée pour certaines spécialités comme les soins palliatifs ou la psychiatrie ;

• Accorder aux enseignants les moyens d’accomplir leurs missions avec efficacité et dévouement par la revalorisation de leurs carrières et l’indexation de leurs salaires en vue de susciter des vocations.

4. Sécurité et défense nationale

Rendre obligatoire le service militaire à la fin des études secondaires.